Souvent utilisée de façon réparatrice, après un accident, pour réparer un visage abîmé, par exemple…, la chirurgie esthétique en Tunisie est aujourd’hui une spécialité à part entière : évolution technique impressionnante, phénomène de société et prix pas chers y sont pour quelque chose. En effet, il n’est pas surprenant de voir une femme ou un homme faire un crédit pour une intervention chirurgicale.
C’est un marché en progression régulière qui connaît une véritable révolution avec pour modèle, le modèle américain qui concilie démarche commerciale offensive et organisation médicale affûtée. Ce secteur compte en effet aujourd’hui 1300 chirurgiens plasticiens titulaires des diplômes nécessaires, mieux vaut sélectionner le meilleur praticien et s’adresser à un professionnel averti, dans une clinique spécialisée en chirurgie esthétique.
Le tourisme médical et la chirurgie esthétique en Tunisie, constituent un marché prometteur. A 3 heures de Roissy Charles de Gaulle, « ce marché » attire un large panel de clientèle, principalement venus d’Europe. Cette clientèle bénéficie d’un traitement de haute qualité, et de prestations aux prix particulièrement compétitifs.
En Tunisie, la chirurgie esthétique s’exerce le plus souvent à Tunis et à Monastir. Les femmes représentent la majorité des clients de chirurgies esthétique. Les interventions les plus courantes sont celles des seins, du nez, de la bouche, les opérations de liposuccion, du ventre, des fesses, les liftings, du visage, ou du reste du corps, etc…
De nouveaux produits sont arrivés en Tunisie il y a quelques années, comme le BOTOX, très en vogue, et qui permet de corriger les rides d’expression : rides du lion, rides de la patte d’oie et du front, corriger l’excès de transpiration… Il s’agit d’une injection qui consiste à paralyser les muscles des zones traitées, les effets s’estompant environ au bout de 4 à 5 mois.
Les techniques de chirurgie esthétique ont donc beaucoup évolué, cependant, il faut savoir que la réussite ne peut être garantie à 100 %, et qu’une telle intervention doit être réfléchie, et non issue d’une impulsion quelle qu’elle soit.
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